Administration La Firme marketing (00:50)
On se lance dans un nouvel épisode de J'aime ta compagnie, épisode intitulé Tendances 2026 en vitalité financière, diversification, simplification et efficience. Bonjour à vous toutes et tous. Comme à l'habitude, je suis Marie-Michelle Bélanger, stratège, et aujourd'hui, je vous présente le premier épisode de trois épisodes d'un dossier complet qu'on a intitulé Tendances financières des équipes réputationnelles.
comment redonner vitalité à nos PME et au BNL en 2026. Et ça ne sera certainement pas un long fleuve tranquille, ça ne sera certainement pas facile. Avant de plonger dans l'épisode des petites nouvelles de la firme, en fait, vous avez écouté les épisodes passés. À ce moment-ci, on devrait appeler la firme J'aime ta compagnie. On est en transition et on est très, très excités par tout ça.
Personnellement, moi, évidemment que je vis une surcharge importante de travail, parce qu'en contexte de transition, je ne peux pas arrêter de servir les clients, d'être présente, d'être toute là, de donner des conférences, de me promener partout au Québec pour continuer mon travail. D'ailleurs, je suis bien excitée. Dans deux semaines, je serai dans la région de l'Abitibi, à Rouyn-Noranda-Val d'Or. Si vous écoutez de l'Abitibi, je serai parmi vous.
pour des formations
développement de membership. puis, fin novembre, je serai dans la belle région de Saint-Yves-Saint pour une conférence auprès d'un groupe d'OBNL, une association d'OBNL. Et donc, je suis bien bien excitée, mais étant en surcharge pour garder le cap, j'ai dû mon travail et je suis très excitée.
J'ai réussi à tout organiser mes priorités dans un tableau. Et tu sais, on en parlait dans les épisodes passés avec Caroline, là, sur la planification stratégique. Si vous n'avez pas écouté le tout, tu la stratégie organisationnelle, c'est-à-dire oui, on a des belles idées en planif, mais comment on rend ça sur le terrain? Mais c'est vraiment une game de structure du travail, d'organiser les priorités. Et j'arrive au bureau ce matin pleine de boulots, mais hyper enthousiaste parce que j'ai réussi à mettre mes priorités dans le bon ordre et je sais ce que j'ai à faire aujourd'hui.
Bref, c'est ce que je vous souhaite pour 2026. Si on parle très très en hauteur, le contexte ne sera pas plus évident qu'avant. Qu'est-ce qu'on observe en 2025-2026?
Je veux nommer que moi j'enregistre l'épisode en novembre 2025 et que si je me fie à la dernière année, j'appellerais ça des années de transition yo-yo intense. Tout le monde, tout on sent une anxiété autour de nous, on sent que le monde s'accélère. Donc, faire des épisodes de tendance, c'est pas nécessairement simple dans ce contexte-là, mais je vous partage avec...
je dirais une certaine humilité et aussi confiance, intégrité, ce que je vis dans mon quotidien. Comme stratégie, les gens viennent vers moi, j'observe, ils viennent vers moi avec quelle demande et je peux quand même observer des tendances qui se dessinent. Donc dans le contexte, sans surprise, on vit l'impact de l'incertitude géopolitique. Il a des guerres importantes dans le monde. Nous-mêmes, est en guerre économique avec les États-Unis. Parfois, je suis un peu déçue.
d'observer les gens autour de moi qui continuent d'acheter à fond américain. Je sais qu'on ne pas tout changer, je suis pleine d'empathie là-dessus, mais je veux juste nous rappeler à tous et à toutes qu'on est en guerre économique avec nos voisins du Sud. Et donc, on fait des choix, le temps des fêtes s'en vient, quand on fait des choix d'achat, des fois on n'a pas le choix, des fois on n'a vraiment pas le choix, mais quand on peut prendre le temps de se dire, Est-ce que j'ai une autre option? », faisons-le.
Faisons le, même chose pour aller passer des vacances, trouver des places. Le Québec d'abord est magnifique, le Canada on vit un peu les foudres de cette guerre économique-là. Au Québec, si vous suivez l'actualité, vous êtes au courant qu'on a frôlé une récession. Donc, dans la définition plutôt intellectuelle, théorique d'une récession, on n'a pas été en récession, mais c'est une question de...
de 10e de point, donc on a froulé une récession. Si vous avez des placements avec votre entreprise ou avec votre OBNL ou des placements personnels, vous voyez qu'on fait des taux incroyables. Ça monte, ça va bien, mais à un moment donné, on se rend bien compte que l'élastique s'étire et que l'économie s'écyclique. Donc on ne pas être dans « waouh waouh waouh, tout va bien jusqu'à ce que ça aille toujours bien. » Des fois, ça monte, des fois, ça descend.
L'économie, c'est comme ça. Et la dernière récession remonte un petit peu plus longtemps. Dans le passé, de l'économie, y toujours eu des cycles économiques où ça monte, où ça descend. Puis comme là, se trouve bien intelligents, les humains, on manipule un peu les chiffres. On monte les taux, on ralentit, on essaie de contrôler pour ne pas aller là, mais on sent une forme de contraction. Puis même, on observe que les jeunes sont plus au chômage qu'au Québec.
les jeunes sont plus au chômage qu'avant et puis ça c'est un signe de récession. Donc, on se maintient, mais je nous dirais peut-être aux soins intensifs économiques, ok? Moi je parle du Québec, mais je pense que c'est partout pareil dans le monde. Je ne pas connaître chacun des pays de la francophonie, mais on vit une contraction et c'est pour ça que c'est important dans nos entreprises, dans nos OBNL.
de se sentir robuste, de s'en sentir en confiance, de se sentir solide. Un peu comme la pratique du Moi, en ce moment, je me fais cette métaphore souvent dans la gestion de ma business. Je me dis que comme du yoga. Le yoga, demande d'être calme. Ça demande énormément de force, de Apprendre à tenir une pose de yoga flyée, ça...
Je connais pas grand sport qui demande autant de musculature que ça. Il faut être très fort. Il faut être flexible. Il faut être capable de s'y tirer et d'augmenter notre flexibilité pour arriver à tenir les Il faut tenir en équilibre. Le yoga, souvent, il a des postures, des poses d'équilibre. Donc équilibre, n'est pas nécessairement évident. On peut être chambre en l'air, on retrouve notre équilibre.
Tout au long de l'année, moi je vous invite à adopter une posture de yogi dans votre OBNL, dans votre business. Et je vais vous partager aujourd'hui quelques tendances qui, je pense, vont se pointer le bout du nez et qui pour certaines tendances, vont nous aider, pour certaines tendances vont potentiellement...
La première tendance pour moi, c'est le retour des stratégies de revenus de rentabilité et de productivité. C'est fascinant parce que moi je me disais « ah là ça va mal aller, on va vraiment, frôle la récession » mais moi j'ai jamais eu autant de demandes qu'en ce moment. Donc il une accélération, les gens veulent faire de la planification stratégique, ils veulent se prendre en main souvent on vient vers moi en disant, par exemple pour les PME, ah ben là je dois…
diversifier mes revenus ou encore les revenus que j'ai, ce pas les revenus que je veux avoir dans le futur. Là maintenant, je vends beaucoup à ce genre de clients, mais je le sais que dans le futur, ces clients-là ne vont plus m'acheter, alors je dois me diversifier, je dois aller voir ailleurs. Il a certaines entreprises qui viennent vers moi avec de l'inventaire accumulé à cause de ce qui se passe aux États-Unis. J'ai des entreprises qui viennent vers moi en disant, OK, je vends bien, mais au lieu d'être
dans la croissance, d'aller chercher plus, plus, plus de clients toujours, puis plus d'employés. J'ai envie de garder ma même équipe, mais je veux être plus rentable. Je veux être plus productif. Je veux que mon équipe travaille mieux. Je veux intégrer des stratégies d'IA justement pour faire plus avec moins, être plus robuste. Je veux calculer est-ce que mon équipe, à l'heure, moi je paye des payes à tout le monde, mais est-ce que ça rapporte suffisamment? Est-ce que quand j'engage quelqu'un, ça égale
plus de rentabilité ou si j'engage des gens, mais finalement ils font pas tellement l'affaire et je me rends compte que ça nuit à la rentabilité. Donc ça fait rentrer plein de revenus, mais ce pas une équipe productive. Alors on vient beaucoup vers moi vers ça et je pense que ça, va nous d'être plus stratégiques en termes de développement de revenus, de diversification des revenus.
de calcul de la rentabilité et de faire des choix difficiles parfois pour être rentable et de la productivité. Et c'est vrai aussi pour les OBNL. Les OBNL vont se voir couper du financement par le gouvernement. C'est déjà en train. Pis tu sais, quelque part, moi je suis en paix avec ça. Moi je suis en paix quand on coupe parce que je me dis, ça donne l'occasion de faire du ménage. Quand on est trop confortable, on peut...
des situations tant en entreprise qu'en OBNL, des situations où on n'est pas optimale. Mais quand il a des coupes, faut être, il faut s'optimiser, il faut se poser les bonnes questions. Et donc, si un OBNL se voit couper certains revenus, financements qu'il y avait, d'abord, on peut être plus productif en interne. Comment on peut travailler mieux ensemble? Est-ce qu'on peut laisser aller certaines choses? Je vais en parler dans la tendance numéro 2.
Est-ce qu'on peut diversifier nos revenus? Certains OBNL avaient beaucoup de subventions, mais là peut-être qu'ils vont se dire « Ah, si j'ai moins de subventions gouvernementales, comment je peux signer des partenariats stratégiques avec d'autres, avec des entreprises, avec le milieu corporatif? » je vous invite vraiment à vous est-ce que je peux être plus stratégique pour aller chercher de l'argent, de la rentabilité, de la productivité cette année, puis pas de le voir comme en se victimisant, dire « Ah non, je…
ou en un an j'ai perdu un gros client, mais dire « OK, what does that make possible for me? » Comme leader, quelle décision j'ai à prendre quand je parle de coupe du gouvernement, ça touche pas juste les OBNL parce qu'en entreprise, il y avait beaucoup de subventions aux entreprises. Il en a encore beaucoup, mais je vois le gouvernement, il veut l'être plus précis. Où est-ce qu'il investisse? Ce n'est pas nécessairement négatif. Il veut l'investir dans des subventions.
pour lesquels ils vont donner des indicateurs clés. Ils veulent un retour sur investissement, puis je les comprends, c'est notre argent collectif qui est investi en subventions. Donc, on ne plus donner des subventions à qui mieux, sans regard de ce que ça donne. Ça, c'est bien correct.
Il autant pour les OBNL que pour les PME. Tout ce qui est investissement gouvernemental ou développement de partenariats stratégiques, la réputation va être plus importante que jamais. Ça va être l'épisode dans deux semaines où on va parler des tendances réputationnelles. C'est sûr qu'on est tous des humains quand on a une enveloppe de subventions à donner, quand on une enveloppe de prêt, qu'on est une banque, qu'on est un organisme d'investissement quelconque.
Quand on est une entreprise qui se fait approcher par différents partenaires, mais c'est sûr que la réputation de l'autre personne de l'autre côté de la table va peser dans la balance. Et si j'ai le choix entre trois OBNL, entre trois entreprises, qui je vais choisir? Je vais choisir celle qui a le plus, la plus grande réputation, la plus belle réputation, qui est dynamique, prend de la place. Alors, pour développer justement nos stratégies de revenus, de rentabilité et de productivité, ça n'ira pas sans...
des stratégies de réputation forte. Alors ça, va en parler dans deux La tendance numéro deux, j'ai appelé ça minimalisme financier ou la stratégie maricondou de votre PME, votre OBNL.
Donc, on l'a dit plus tôt, il va y avoir moins d'investissements, moins de subventions, il va falloir diversifier nos revenus, mais si on n'arrive pas à avoir le même revenu qu'avant, ou si on se maintient tout en ayant à augmenter les salaires de nos employés, bien ça, c'est compliqué parce la croissance est moins là, mais les employés ont toujours plus, plus, plus d'attentes Alors là, on va devoir se transformer en Marie Condot de l'entreprise, de l'OBNL. Si vous ne connaissez pas Marie
C'est une experte, comme on dit en anglais, du « decluttering ». Elle aide les gens, a une technique pour faire le ménage de nos maisons, retrouver de l'espace, vivre des vies plus minimalistes, moins de matériel pour être plus heureux, que notre environnement soit plus simple. Je pense que ça va être important de faire la même chose dans nos OBNL et nos PME. Donc, posons-nous les questions. Quel projet je dois laisser aller? Est-ce que je dois laisser aller des personnes? Des personnes
pour qui peut-être le plan de carrière ne correspond plus avec le plan de développement de l'OBNL ou de l'entreprise, des personnes qui n'ont peut-être pas l'énergie qu'on veut amener à la table.
est-ce qu'on doit laisser aller des produits ou des services? Question hyper Les meilleurs restaurants, je le dis souvent, ce sont ceux qui ont une carte hyper simple. Donc, qu'est-ce qu'on fait mieux que personne? Quels produits ou services ont réellement un grand impact sur nos clientèles Quels produits ou sont rentables, calculent de coups de revien? Est-ce que nos services, nos produits nous rapportent? Et plus que jamais, c'est important d'être très, très au fait de ça.
Question très difficile ensuite, est-ce qu'on doit laisser aller des clients, des usagers, peu importe, des gens pour qui on n'est pas peut-être les meilleurs, qu'on n'est pas optimales. Parce que souvent, moi, j'observe les clients qui rentrent chez nous pour aller chercher de la subvention, pour aller chercher des revenus, mais qu'est-ce qu'ils font? Ils explosent les produits ou services. On va offrir telle affaire pour aller chercher telle subvention. On va offrir telle affaire pour essayer de vendre à telle personne ou à tel genre de client. Là, ils séparpillent.
par réflexe. C'est un réflexe de suffis, je m'éparpille pour aller chercher plus d'argent en vente ou encore en subvention. Mais là, en ce moment, je vous invite vraiment à être précis sur quel client on garder, quel client on doit laisser aller. Puis ça, j'ai un exercice bonbon, j'en parle souvent, je le répète. Sortez là votre dernière année puis votre durée de vie de votre entreprise. Quels sont les 20 clients les plus payants? Ça, c'est au niveau des PME. Au niveau des PME, quels sont les clients les plus payants?
puis sortez un surligneur, puis avec vos équipes, allez surligner avec qui c'est le plus fluide de travailler. Quel genre de relations, client, entreprise vous donnent de l'énergie, vous remplit, vous nourrit. Et puis là, vous allez vraiment clarifier quels sont vos réels clientels idéals. Puis ceux qui ne sont pas surlignés, posez-vous la question, qui on peut laisser aller pour simplifier le modèle d'affaires? D'un point de vue des OBNL, ça peut être la même chose. Quel groupe d'individus...
on a eu plus de subventions ou que les projets ont eu plus d'impact, les clientels ont senti un fit naturel avec notre équipe pour vraiment se concentrer sur les clientels pour lesquels on est vraiment des experts. Et puis, si on doit couvrir des vastes clientels, bien là, ça va être une gaine de réputation. Donc, suivez-nous dans l'épisode, pas la semaine prochaine, mais l'autre.
Donc si on va aller chercher plus, plus, plus de subventions alors que le gouvernement coupe, il faut être leader et proactif et rayonner pleinement pour que les bailleurs de fond, ils nous choisissent en premier parce qu'ils ont confiance qu'on va transformer chaque dollar en réel retour sur investissement pour la Et finalement, dernière question à vous poser, est-ce qu'on peut laisser aller certains coûts fixes, bureaux, des outils numériques, des dépenses qu'on paye tous les mois et qu'on se rend même plus compte qu'on paye, mais qui ont…
nécessairement de valeurs ajoutées sur la création de revenus, sur la création de la diversification des revenus, sur la rentabilité. Et donc j'entendais quelqu'un qui calculait, bon, avait pris de chaque GPT payant pour son entreprise ou son organisme, puis c'est 25 piastres par mois, puis que ça avait vraiment de valeurs ajoutées. Des fois, je vois des organismes, « Ah, mais est-ce qu'on accepte cette dépense de 25 $ par mois? » Des fois, je vois un décalage entre les coûts fixes et le réel retour sur investissement.
Alors, faites un ménage là-dedans, c'est facile. Vous sortez vos dépenses annuelles de l'année dernière, puis vous regardez quelles sont les dépenses qui sont liées directement avec la diversification des revenus, la solidité des revenus, la rentabilité, puis ce qui n'est pas surligné, posez-vous la question, est-ce qu'on peut laisser aller des choses? Puis des fois, là, il a certaines personnes qui peuvent faire de la résistance. Non, non, mais moi, je trouve ça confortable d'aller au bureau de telle façon ou peu importe, mais...
faites du ménage en équipe et expliquez à votre équipe pourquoi on fait ce ménage-là. C'est parce qu'on veut être robustes quand notre bateau va traverser la tempête.
Tendance numéro je crois qu'on va voir plus de partage de richesses et de reconnaissances. Dans le monde actuel, on voit vraiment l'inverse. On voit que les gens riches s'enrichissent, les gens pauvres deviennent plus
Puis d'un côté des entreprises, principalement, et peut-être même des OBNL, ça va être un partage de la richesse et de la reconnaissance. Donc du côté entreprise, si je pense par exemple aux hôtels, des hôtels qui se plaignent,
personne à l'entretien ménager. Mais souvent, c'est des petits salaires, puis ce n'est pas des jobs qu'on a le goût de faire. Donc, pour donner du sens à ce travail-là, je suis dans l'impression qu'on n'aura pas le choix comme entrepreneur de partager des parts, des actions d'entreprise pour toutes les sphères d'emploi dans notre organisation. Donc, nos gens à l'entretien ménager, s'ils avaient une partie de part de l'entreprise, il y aurait tout intérêt à faire un beau ménage pour que les gens...
mettre des avis Google extraordinaires pour qu'ils reviennent. Et quand les gens vont prendre leur retraite d'avoir fait de l'entretien ménager toute une vie, ils vont partir avec un petit spécul, parce qu'ils vont pouvoir racheter les parts de l'entreprise et avoir un gain financier important d'avoir fait du ménage, dans le fond. Puis,
C'est un travail d'équipe et je pense que les entreprises qui vont tirer leur épingle du jeu vont partager les profits. Ce sera pas un au-dessus avec des mignons en dessous. Ça va être un étalement des responsabilités. Même chose en OBNL. On pourra plus avoir des gens qui exécutent en OBNL. Pour avoir des talents, il va falloir leur donner un plan de carrière. Il va falloir leur donner des pistes de projet, du leadership, de dire à chaque individu
voici là où on s'en va et toi, tes responsabilités, c'est ça, parce que les gens vont chercher du sens dans leurs responsabilités. Ils vont vouloir des meilleurs salaires et ils vont du point de vue des PME, d'avoir des actions. Et donc, je pense que les OBNL et les PME qui vont prendre la place l'année à venir, c'est ceux qui vont arriver à partager la richesse, partager la reconnaissance, partager la
et qu'à tous les paliers, va falloir que ça se ressemble ça.
qu'on partage ensemble tout ça. Et je pense que pour ceux qui veulent vraiment tirer leur impagne du pousser des stratégies en ce sens, autant dans le partage des richesses financières, le partage de la reconnaissance, l'équité dans la reconnaissance du rôle de chacun dans l'atteinte des résultats, ainsi que le partage
Ça, c'est super important, des responsabilités. Les gens veulent prendre de la place, veulent se sentir utiles, veulent participer, veulent des projets qui leur ressemblent, prendre des décisions à différentes échelles. Il a des petites, moyennes, grosses décisions, mais je pense que les gens ont soif de s'impliquer pleinement. Puis là où il a du désengagement, c'est quand on partage pas la richesse, la reconnaissance et les Tendance numéro 4, la valeur humaine dans un monde saturé d'IA.
Il y beaucoup eu de va-et-vient là-dedans. Ne serait-ce qu'en pandémie, on n'a pas eu le choix de travailler à distance, de faire du travail de la maison, d'intégrer des outils numériques. Même chose avec les clients. Moi, je suis en consultation, je faisais beaucoup de choses à La formation, c'était une ère d'économie de formation en ligne. Il y a eu une économie qu'on appelle des...
du produit d'information, on vendait des PDF, on vendait des formations à synchrone, mais là, je pense qu'il va y avoir beaucoup de valeur à l'accès à de l'humain. Un humain qui peut nous parler de notre situation. Même si on achète une paire de mitaines, on va vouloir parler à une personne, on va vouloir l'essayer.
à mesure-tu cette moutaine-là? Puis si on ne pas parler à la personne, on va vouloir lire des avis clients, on va vouloir consulter des gens en ligne, un chat avec une vraie personne pour nous conseiller la bonne teinte de maquillage ou la bonne taille de pantalon d'hiver pour notre enfant.
Donc oui, évolue beaucoup. Oui, on parle de chat bot, de l'IA. On parle beaucoup d'intelligence artificielle, mais je pense que les entreprises, les OBNL qui vont prendre plus de place, c'est celles qui vont investir dans des humains, investir dans du temps J'entends là que beaucoup d'employés qui veulent pas aller au bureau, mais c'est parce que quelque part, il a pas du sang que ça est au bureau. Mais je crois que celles qui...
les entreprises et OBNL qui vont prendre plus de place, qui vont réussir, c'est sûr qu'ils vont donner un sens à être ensemble pour que l'employé comprenne, hey, ça a de la valeur la discussion informelle à la machine à café, ça a de la valeur sur le plan de la créativité, de la capacité à générer des solutions en équipe, d'être ensemble et de bien doser, hein, comment on structure le fait qu'on investit dans lui-même, dans un monde saturé de Tendance numéro 5.
Je me sens un peu à contre-courant pour cette tendance-là. J'observe que dans le marché, les gens disent tendance 2026, on va avoir des indicateurs de performance plus précis, encore plus en quantité, on va pouvoir faire du prévisionnel. Et puis moi, je crois vraiment pas va devoir, pour la vitalité financière, choisir quelques indicateurs précis, très, très macros.
pour mesurer l'impact de nos actions en développement des affaires, de nos actions de diversification de revenus, de productivité. On ne peut pas s'éparpiller. Et puis, moi, là, je me dis, il faut d'abord calculer notre productivité. Être productif, ça veut dire que si j'engage plus de j'ai plus de revenus ou j'ai plus de rentabilité. C'est vrai aussi pour les OBNL. Si j'engage plus de monde, j'arrive à aller chercher plus de subventions.
où j'arrive à aller chercher plus de dollars au corpo en partenariat stratégique, en et j'arrive à fin de l'année à donner des meilleurs salaires à mon monde pour les garder tout en étant à zéro à la fin de D'un point de vue des entreprises, même chose, est-ce qu'on est rentable? Calculer le coût de revient, le coût bénéfice, la productivité réelle, j'engage plus de monde, est-ce que j'ai plus de revenus? Est-ce que j'ai plus de profits à la fin de l'année?
puis de vraiment dire comment je fais pour calculer ma prévision en prévisibilité financière, autant pour les PME que les OBNL, on calcule les « ». Moi, en entreprise, c'est mon nombre de rencontres exploratoires. Moi, c'est une donnée très, très importante et le nombre d'invitations à déposer sur des appels d'offres. Moi, ça me montre, est-ce que je vais bien aller dans trois, six mois? En PME, même affaire, est-ce qu'on a plus de « leads qui rentrent?
En OBNL, qu'on a plus de discussions avec des partenaires stratégiques ou avec des bailleurs de fonds? Si on est trois mois avec aucune discussion, on sait que dans trois mois, on va peut-être vivre les impacts de ça. Alors, on calcule les « leads », on calcule le taux de « ». Est-ce que dans l'ensemble de mes leads ça « closes »? Si j'ai plein de discussions pour signer des partenaires stratégiques corpaux pour mon OBNL, pour diversifier mes revenus et aller chercher du revenu privé, est-ce que j'arrive à les signer ou pas?
Puis après, est-ce que les gens que je signe, les gens qui m'achètent, est-ce que les gens qui nous donnent de l'argent, est-ce que les bailleurs de fond qui nous donnent de l'argent continuent de croire en nous pour des années consécutives? Parce que si on arrive à mesurer autant les « », les ventes, c'est vrai pour les OBNL, et la ça va nous indiquer à quelle étape on doit travailler davantage et s'optimiser. Et puis là, la stratégie va être encore plus précise. Alors tendance numéro 5, choisit trois, cinq indicateurs.
précis pour calculer notre vitalité financière, on s'y tient et on optimise nos actions en fonction de si oui ou non on fait bouger les trois cinq indicateurs clés. Dernière tendance pour la vitalité financière, je pense qu'on va voir encore plus de mutualisation et ou de fusion. Donc, soit des organismes qui vont se fusionner pour être plus forts ensemble, pour mettre toutes les subventions ensemble, pour avoir une personne aux communications au lieu que par exemple deux personnes aux communications, une personne aux chiffres
plutôt qu'une personne dans chaque organisme. Même chose pour les entreprises. On va potentiellement voir des achats, des fusions. Ce qui est dommage là-dedans, c'est que souvent on voit que ceux qui sont plus forts, plus gros achètent les petits. Mais moi, ce que je pense qui va se passer dans l'année à venir, c'est que les petits vont fusionner ensemble. Ça, j'ai hâte de voir ça. Des gens qui arrivent dans une relation vraiment déquité. Moi, j'apporte ça à la table, toi t'apportes ça. On va pouvoir mutualiser certains services internes. On va être plus productifs ensemble. On va se partager nos forces.
et on va grandir, on va être plus fort dans la tempête. Mutualisation de service, peut être aussi plutôt que de dire, bon, je un OBNL et j'engage quelqu'un à 35 heures semaine en communication, mais j'ai pas d'argent pour ça, puis j'ai pas assez de travail pour une seule personne, bien, je vais pouvoir engager un 15 heures semaine un senior qui va aussi travailler pour d'autres organismes. Même chose pour les entreprises. Je prends l'exemple des communications marketing, c'est un exemple que je connais bien. J'engage quelqu'un 7 heures semaine 10 pères seniors.
qui va être très fort, qui va nous avancer ça rapidement. Et cette personne-là va travailler en marketing dans plusieurs business. Donc, on mutualise la personne. On peut se payer des gens plus haut niveau, qui vont plus vite, qui font moins d'erreurs parce qu'ils ont plus d'expérience. Et donc, on peut croître, mais tout en étant frugal sur le plan de la dépense. OK? Donc, je pense que c'est une stratégie très extraordinaire pour cette année. OBNL autant que business PME.
avec qui vous pourriez fusionner ou avec qui vous pourriez mutualiser des services pour être gagnant-gagnant ensemble. C'est vrai aussi, j'entends souvent les entreprises saisonnières. Est-ce qu'on peut en dire, bon, mais moi j'ai fait travailler l'été, toi t'es fait travailler l'hiver ou encore potentiellement qu'on fait travailler nos employés dans la saison faible, dans la saison où il a pas de travail pour nous, qu'on arrive à les relocaliser dans d'autres types d'entreprises où il peut y avoir un rush en hiver?
ou un rush en pensez Outside of the Box là-dessus pour vous optimiser cette Alors, ça clôt mon épisode sur les tendances en vitalité financière 2026. Si vous avez d'autres pistes, écrivez-moi Bonjour à commerciale, la firme.marketing. Ça va me faire plaisir de vous
En conclusion, dirais que la vitalité financière, ça ne se joue plus uniquement dans la croissance à tout prix. C'est là où le capitalisme va face à sa limite. La limite du capitalisme, c'est ça. C'était l'idée que certains s'enrichissent avec des millions en dessous. On ne plus être là. Il faut s'élever ensemble, tout le monde, dans la lucidité. Une certaine sobriété stratégique, une vraie création de valeur, investir là où on crée de la valeur financière.
et aussi pour la Et je dirais le partage du des efforts, le partage du fruit du travail, le partage de responsabilité pour que tout le monde s'accomplisse dans le travail.
Alors, vos papiers crayons, j'espère vous avoir inspiré à revoir vos stratégies 2026. C'est sûr que si vous avez besoin d'un coup de pouce, vous savez qui appeler. On est là, notre équipe, Caroline et moi, pour vous soutenir dans la planification stratégique, pour que vous puissiez arriver à faire bouger vos stratégies en vitalité financière, pour que ça fonctionne pour vous, malgré le fait qu'on vit dans une profonde incertitude actuellement. Et pour ceux, c'est celles qui ne seraient pas encore abonnés au Balado.
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Je vous dis merci d'avoir partagé cet instant avec moi et je vous dis à la semaine prochaine pour parler de vitalité de l'équipe.