Katrina et Marie-Michèle (00:50)
C'est parti pour un nouvel épisode de J'aime ta compagnie, intitulé « Un an de J'aime ta compagnie, ce que les contenus longs nous ont appris sur le marketing ». Alors aujourd'hui, je suis accompagnée
– Katrina!
Katrina, côté Gérard, stratège marketing à la firme, et moi-même Marie-Michelle Bélanger, comme à l'habitude.
Et si c'est votre premier épisode chez nous, on vous souhaite la bienvenue. Vous arrivez pour célébrer la première année de notre balado! Youpi! On est vraiment fiers parce qu'aujourd'hui, célèbre... Aujourd'hui, c'est le 52e épisode, donc on célèbre une année de balado à chaque
Il faut dire qu'on a commencé à le diffuser un petit peu plus tard, je
on en avait enregistré, on en a sorti un peu de...
Les premiers ont peut-être sorti une vitesse un petit peu plus rapide, la question d'avoir des contenus dès le départ, mais c'est 52 épisodes, donc on pop le champagne aujourd'hui. Oui, nos 5 premiers, dans le fond, au jour 1, étaient disponibles, comme si on avait commencé 5 semaines plus
on voulait profiter de cet épisode-là pour partager, oui célébrer, mais aussi partager nos apprentissages parce que ce n'est pas rien de se lancer dans les contenus longs. On a fait des bons, des moins bons coups. Pourquoi écouter l'épisode, Catherine? À quoi ça sert d'écouter
Déjà de célébrer avec nous parce qu'on espère
a peut-ĂŞtre des nouveaux auditeurs et auditrices.
mais surtout que des auditrices et auditeurs fidèles qui nous écoutent peut-être depuis 52 épisodes ou presque. Donc, déjà c'est célébré, c'est une bonne raison d'écouter l'épisode. Mais aussi pour comprendre, parce que oui, là , on utilise le
52 épisodes pour parler de contenu long versus contenu court. Plutôt parler de contenu long, des apprentissages qu'on en a fait. On va parler un plus tard, bien, comment on fait pour différencier un contenu long d'un contenu court.
comprendre un peu plus ce que c'est, c'est une bonne raison d'écouter l'épisode, comprendre aussi l'effort que ça demande, l'investissement, tant du point de vue
créer les contenus que de les organiser, de les diffuser, donc comprendre ce que ça demande comme effort.
Et c'est
célébrer avec nous, puis célébrer notre audience qui grandit. On a parlé d'audience et de communauté récemment, mais donc le balado nous aide à faire qu'on grandisse l'audience de la firme à chaque semaine.
puis initialement, c'est ça, si on
début du projet,
parce que si on se ramène au départ
la firme, on a travaillé très fort pour monter des beaux
définir notre expertise, d'organiser tout ça, d'organiser les opérations, question que quand on fait une stratégie marketing, bien tout est fait en
au bon moment, on est rigoureuse, c'est organisé. Il a jamais un client qui nous a couru après. Puis là , à moment donné, s'est dit, bien là , tout est beau, tout est le fun, tout est organisé. Maintenant, il rayonner. Maintenant, il faut prendre de la place. Maintenant, il faut que les gens connaissent notre expertise. Et on a choisi, nous, la formule Balado
oui, créer un contenu long par semaine qui nous permette de partager nos apprentissages.
de donner des bons
d'outiller des clients potentiels ou des clients actuels, de se faire connaître. Puis on a choisi cette formule-là parce qu'on aimait un audio
plus écolo que la vidéo. Donc on s'est dit du départ, il n'y aura nulle
épisodes au complet en vidéo. Il y en a quelques-uns, ceux du parcours client, on les retrouve là , mais c'est une minorité parmi les 52 épisodes.
C'est des épisodes essentiels pour enseigner la méthode firme. Au-delà de ça, on n'est que en audio. Sinon, on fait un clip maintenant par semaine vidéo sur les réseaux sociaux pour mettre de l'avant un extrait de l'épisode pour donner le goût de l'écouter. C'est chouette parce que de chaque épisode, on arrive à tirer différents
les réseaux sociaux, pour l'info de lettres. On va en parler plus tard aussi, ça nous aide à créer des outils de communication. Alors, c'est de là où est partie l'idée. Puis, on a longtemps hésité. C'est ça qui est intéressant à dire. On a longtemps hésité. Il faut rappeler que
En ce moment, sur la paye firme, on est deux employés à temps plein, puis on a deux collègues pigistes qui nous soutiennent, mais on peut parler de micro-entreprise. Donc, c'est un gros dossier. Ça demandait un peu d'audace de se lancer là -dedans. Un peu. Un peu. Un peu. de rester, parce qu'il était un moment où, quand Rouge a quitté, on s'est dit, ben là , est-ce qu'on tombe à un épisode ou deux semaines? Est-ce qu'on change la formule? On s'est réagissé à plusieurs reprises. C'est un investissement important, puis on tient ça.
On trouve ça important de le partager parce qu'on le sait que vous êtes dans notre réalité.
n'y a personne qui a des gros budgets, qui nous suivent ou qui a du temps à perdre ou qui se tourne les pouces. Donc, on le sait que si vous nous écoutez et que vous vous intéressez au contenu long, on sait ce que ça représente en termes de temps, d'argent et d'énergie de votre côté. Alors, c'est pour ça qu'on trouvait
trouvait que c'était une belle opportunité de partager comment ça se passe
l'arrière-plan et surtout, qu'est-ce que ça donne? C'est une question qui est revenue souvent pour moi.
Qu'est-ce que ça donne votre bel ado? Hey, je n'arrête pas de vous voir passer. Qu'est-ce que ça donne? Alors aujourd'hui, on va partager tout ça en primeur. Youpi. Youpi. Catherine, disons, là , on a parlé depuis le début de contenu long, contenu court. Qu'est-ce qu'on veut dire par contenu long, contenu court?
Bien évidemment, là , on est plus dans la sphère du marketing de contenu, là . Un terme qu'on emploie beaucoup dans le monde du marketing. Nous, à la firme, on ne l'utilise pas nécessairement. On l'inclut dans notre parcours client. On est beaucoup dans la culture de la relation, là , si on veut, là , quand on crée du contenu. Ça peut être aussi de la notoriété. On pourrait mettre des liens vers ces épisodes-là , d'ailleurs. Si les gens sont nouveaux ici et qu'ils veulent aller écouter l'épisode sur la culture de la relation, entre autres, ça serait... Si ce n'est pas déjà fait, ce serait un bon épisode précurseur à celui-ci.
Tout à fait. Donc évidemment qu'on va en parler plus tard, mais que ça nous a beaucoup aidés aussi au niveau du pilier, de la notoriété, donc même la découvrabilité, parce qu'on veut aussi que des articles de blog nous aident à ressortir sur Google et autres outils de recherche.
le marketing de contenu, on peut distinguer deux types de contenu, des contenus longs, des contenus courts. Donc le balado, c'est du contenu long. Donc, un contenu long.
Si on parle en termes de mots, on n'est plus de 1000 mots, mais bref, on parler d'articles de blog bien étoffés, il a qui vont faire des e-books ou des livres blancs, des études de cas, je vais organiser des webinaires ou je vais faire des séries de vidéos
sont par exemple un fil conducteur ou
ont une visée à démontrer notre expertise. Donc, on n'est pas juste à faire des petites...
des petites vidéos sur TikTok ou sur Instagram, on crée vraiment un contenu qui vient appuyer notre expertise, qui vient approfondir un sujet et donc qui permet à nos clients potentiels ou même actuels d'apprendre à mieux nous connaître.
a quelque chose qui relève quasiment de la relation dans un contenu long, je trouve. Oui, parce que ce qu'on veut, c'est que la personne apprenne à nous connaître à travers ça, que peut-être ça lui donne envie de collaborer avec nous ou d'en savoir plus sur nos produits, etc.
Puis on veut aussi, en tout cas nous c'est ça avec le balado, on veut que les gens nous donnent leur feedback. Tu qu'est-ce que vous avez apprécié du balado? super! On va créer ça comme contenu parce que ça vous parle, parce qu'on voit les épisodes où il a le plus de téléchargements, il y a le plus d'écoute, des fois ça nous surprend. Mais on voit là où il y a des intérêts, là où il y a des bobos aussi. ça peut être en effet bidirectionnel comme création de contenu. Donc les premiers contenus on les crée pour notre audience, mais par la suite, si il un retour,
peut le créer ensemble finalement. C'est chouette ce que tu dis parce qu'en plus moi ce j'observe c'est que nos épisodes qui prennent le plus de place, je suis dans l'impression que c'est là où il a des lacunes dans notre industrie. C'est là où personne n'a abordé ces sujets-là . Alors nous on est les seuls qui le font et c'est chouette parce qu'on voit que, en tout cas d'un point de vue des ventes ou des demandes qu'on a, on a des demandes en lien avec les contenus partagés dans certains épisodes plus populaires. C'est drôle.
Puis évidemment, on l'a parlé, un contenu long, mais c'est plus exigeant à produire. On en produit pas 10 chaque jour.
encore. Je veux pas y faire peur! épisode de balado, ça peut être pas loin d'une dizaine d'heures. part de... Aujourd'hui, par exemple, j'ai écrit le petit script d'épisode, Comment on va décortiquer l'épisode donc ils sont part de ce moment-là jusqu'au bout où on partage sur les réseaux sociaux, puis sur YouTube, etc.
on n'est pas loin du 10 heures, surtout pour un épisode plus long. On parlera peut-être des nouveaux types d'épisodes qui s'en viennent dans les prochaines semaines, mais où on a réussi à trouver peut-être un concept qui nous prend un petit peu moins de temps, mais tout aussi efficace et qui apporte autant de valeur pour la personne qui nous écoute.
le contenu long, ce qui est intéressant aussi, selon sa formule, peut nous aider à bien se positionner sur les moteurs de recherche parce qu'on va utiliser des mots-clés pertinents, tout ça. Et nous, le voit, les épisodes de balado, par exemple.
partenariats stratégiques.
C'est de loin un des
est le plus écouté. Et aussi, on le voit dans notre Google Search Console que c'est un des billets de blog, pardon, les plus cliqués sur notre site web. Donc, a un besoin clairement d'être créé des partenariats, des commandites qui ont de la valeur. Donc ça, c'est les contenus longs. Quand tu parles de SEO, ça veut dire sortir en premier dans Google, mais avec le balado, les contenus longs, nous, on distribue partout.
Ça peut vouloir dire que nos contenus vont sortir en premier dans YouTube, sortir en premier dans Instagram, sortir en
les plateformes confondues dans les plateformes d'écoute de balado. C'est ça oui parce que de plus en plus les gens font des recherches à même les réseaux sociaux. Et même même Tchadjipiti aussi. c'est un autre univers qu'on a à creuser dans les prochaines semaines. Il a beaucoup d'articles qui sortent là -dessus dernièrement. Mais comment ça va se comporter, tout ça aussi c'est une bonne question.
En tout cas, on va le nommer tantôt. On dirait que je spoil un peu tous les contenus, mais on ne pas s'asseoir sur ses lauriers. Même quand on fait du contenu court, bref, en marketing, en entrepreneuriat, on ne peut pas s'asseoir sur ses lauriers parce que ça change tellement vite, donc il faut constamment s'adapter. Donc ça, c'est des contenus longs, les contenus courts, bien évidemment, c'est un peu l'inverse. Donc là , on est plus dans... Je trouve que la meilleure façon de l'illustrer, c'est des posts sur les réseaux sociaux. Donc, je fais un petit reel, par exemple, pour montrer ma chaîne de production. tu ça, c'est un...
des contenus courts, des infographies, des cours de vidéo, des petites annonces qu'on fait.
en fait, je pense que ça va dépendre du type d'info-lettre qu'on fait. Il en a qui vont considérer ça comme un contenu long parce qu'il y a une réflexion derrière. Puis encore là , je pense que l'info-lettre est un bel outil aussi de relations avec ses clientèles idéales. Mais ça pourrait aussi être considéré comme un contenu court, surtout si on fait juste diffuser des informations, des événements à venir ou des choses comme
Alors que là , si on prend le temps de rédiger quelque chose qui prend plusieurs heures, bien là , on est plus de l'ordre du contenu long quand c'est vraiment pour venir appuyer aussi toute son expertise en profondeur. Je pense qu'on peut s'amuser multicanal à faire des contenus courts et des contenus longs. Je pense que dans les contenus courts, on peut plus être
sûr que quand on met 10 heures sur un contenu, on veut que le contenu nous survive. Oui, c'est ça. Mais tu sais, on veut pas comme ça.
Des fois, par exemple, je vais donner un exemple concret, des fois sur les réseaux sociaux
participé à un événement d'entre-chefs PME la semaine passée, on a donné une conférence en marketing RH, mais quand on va documenter ça sur les réseaux sociaux, ça va être un contenu court. On va documenter quelque chose qui s'est passé, puis dans deux, trois semaines, tout le monde va s'en foutre de l'événement. oui, on va l'avoir oublié. C'est oublié. Tandis qu'un épisode qui parle de marketing de contenu long, bien cet épisode-là va demeurer pertinent dans cinq ans, dans dix ans.
malgré les changements technologiques. Puis on peut s'amuser dans l'infolette de dire « ben cette semaine je vais envoyer une infolette hyper courte, je vais poser deux questions à mes abonnés, j'attends un retour. Puis l'infolette d'après, ben là je vais faire un contenu long, très très en profondeur.
Même chose avec les réseaux sociaux. Oui, j'ai parlé de contenus courts, mais disons qu'on faisait des lives, des directs sur les réseaux sociaux comme on l'a déjà fait avec la firme, des lives qui duraient des 30, des 60 minutes
des thématiques qui étaient pérennes, mais les gens retournaient à écouter les vidéos longtemps. Donc, il faut pas juste identifier contenu long et court à Réseau Social Info Let. Peu importe le médium, on peut s'amuser à faire des contenus plus courts, plus courts et court-termistes et des contenus plus longs et
Un contenu court va plus servir Ă capter l'attention rapidement. Donc, je suis ici maintenant, regardez-moi.
Alors
contenu long, c'est plus, je t'invite à venir prendre un café et on prend le temps de jaser et à parler ensemble. Ce qui est intéressant, c'est qu'un contenu long peut devenir un contenu court. C'est ce qu'on fait, C'est un peu ce qu'on fait parce que justement, vu tout le temps et l'investissement que ça demande, il faut rentabiliser
si on avait tout le temps du monde, ce serait complètement ridicule de prendre le temps d'écrire un e-book ou de faire un épisode de balado et de le laisser juste sur la plateforme où il est. Alors que là , le balado, nous ce qu'on fait, c'est qu'on va chercher des extraits, des citations, puis même on n'en fait pas assez à notre goût. On aimerait ça retourner chercher des anciens épisodes, faire des carousels, des choses comme ça, même créer éventuellement même des billets de blogs à partir d'épisodes qui existent déjà , une fois qu'on aura
une quantité substantielle, par exemple, d'épisodes qui parlent de réseaux sociaux, de marketing de contenu, mais là , peut faire un autre, pas un autre épisode, mais un beau blog qui va bien se référencer sur le marketing de contenu parce qu'il est riche, puis il a beaucoup, beaucoup d'informations, puis les gens pourraient aller écouter l'épisode qui leur, qui les intéresse. Mais donc, c'est ça, donc, c'est là aussi l'intérêt des contenus
c'est qu'on peut les
à l'infini. Pour un contenu cool. puis d'ailleurs, va en parler concrètement dans nos...
de comment nous on réutilise nos contenus
Mais justement, quels apprentissages tu ressens de cette dernière
en a plusieurs, puis je suis persuadée qu'on va se réveiller cette nuit en se disant « Hey, on a oublié de parler de ça! » Mais
sûr que le premier apprentissage, moi je dirais qu'il y a une courbe d'apprentissage assez importante. On ne se lance pas
pas comme un meuble IKEA qui vient avec un guide avec étape 1 à 12 puis avec tous les morceaux dans la boîte, puis s'il manque un morceau où on a un téléphone ou appelé. Donc on doit vraiment se créer un processus extraordinaire, bien rodé pour pas qu'il y ait d'oubli, pour que tout sorte au bon moment, pas de faute. Il faut comprendre les outils. Il y a bien des outils qui existent. Comment faire un bon choix? On n'est jamais sûr d'avoir fait le bon choix. Même au début, moi je suis allée vers un outil qui m'avait été recommandé. Puis là au début, on avait beaucoup de...
de limite, c'était compliqué, on se trompait, il y avait des
a longtemps douté, Colin, est-ce que c'était le bon outil qu'on a choisi? Aujourd'hui, pense qu'on est contents. C'était le bon outil. On utilise Riverside FM, parce que j'ai eu la demande sur les réseaux sociaux. Je sais que ça intéresse gens. Ce qui arrive, c'est
mettons que ce n'Ă©tait pas le bon outil.
C'est ça, en ce moment, on est comme peu dans des pantoufles, puis c'est pas un outil qui est parfait, puis il a rien de parfait dans ce qu'on fait. On n'a pas un beau studio comme certains balados podcasts qui s'enregistre plus dans des grands centres parfois. Mais je pense que c'est quand même enviable la qualité de contenu qu'on réussit à sortir avec les outils qu'on a. C'est ce qu'on souhaite, c'est que la technique, tout puisse s'améliorer, qu'on ait plus de moyens.
Mais c'est ça aussi, le cas où on adhère à un outil, il faut se dire aussi qu'on va le garder un peu parce que la courbe d'apprentissage est tellement
Il faut pas changer le C'est ça, c'est tout bout de champ. On peut l'ajuster, on a ajusté le processus, on a intégré des pigistes dans l'équipe, on a changé de tâche des fois, on ajoute des tâches, des fois on apprend, puis on dit « hey là , on va ajouter telle affaire comme tantôt, je t'ai mis une note dans Slack pour l'infolette. » Oui, bon, tu l'as vu? Mais là , c'est, matin, à matin, je suis rentrée, puis je ne pas, j'ai pris une infolette, puis j'ai fait…
pourquoi on ne pas telle affaire? On pourrait ajouter quelque chose dans le processus, on peut le bonifier.
en disant que c'est comme en création de contenu à long terme comme ça, on est obligé de toujours s'actualiser, on est toujours en train de s'ajuster et comme tu disais, de ne pas s'asseoir sur nos
apprentissage important? Ça nous a appris à être plus à l'aise dans la prise de parole publique, surtout toi qui as à faire beaucoup pour la firme.
Je ne m'exclus pas dans cet apprentissage-là , bien au contraire. Puis même apprentissage à bien parler, bien perler quand on est sur un balado. On n'est pas parfaite, mais je pense qu'on s'est bien amélioré. Ça, c'est un bel apprentissage. Ça sert au-delà du balado. C'est des compétences qui sont utiles quand tu fait ta conférence la semaine dernière. Et même moi, en réseautage, on s'en parlait tout à l'heure, j'étais fière de moi parce que...
approché cette séance-là de réseautage avec un autre mindset, une autre posture. Une fluidité. Une fluidité. Puis pas seulement par rapport à la prise de parole, mais on va en parler.
sûr que ça nous donne des contenus. Ça nous donne des choses à dire. Au-delà de « oui, c'est la firme, venez faire votre plan marketing chez nous ». Ou même, c'est toi qui me disais ça la semaine dernière, Katrina.
Parce que des fois, j'ai un sentiment d'infériorité par rapport à d'autres entrepreneurs parce que je ne suis pas une entrepreneur.
qu'est-ce que moi j'ai à apporter quand tu arrives dans un événement où il n'y a que des entrepreneurs, mais tu étais comme moi, mais Catherine-Anne, t'animes un balado. Du coup, tu un balado. Les autres, ne pas ça. Donc, ça te donne une corde de plus à notre angle de dire Eh bien oui, moi je fais ça, toi tu ne fais pas, tu fais autre chose ». Mais c'est valorisant aussi, là .
de se dire ça. Donc ça, c'est un bel apprentissage d'avoir ces outils-là en plus avec nous. C'est drôle parce
Radio-Canada la semaine passée.
je jardinais avec la collègue avec qui on était,
m'a dit, wow, tu maîtrisais ton
ne suis pas allée là en représentation, j'allais partager.
de façon très très fluide ce que je fais déjà avec toi ici sur les ondes du balado. Alors c'est clair que c'est des
la confiance qu'on a acquis cette année. Comme dans les bulletins scolaires, je ne sais pas si c'est encore ça, des compétences transversales. Je ne les comprends pas les bulletins scolaires, ça c'est un autre dossier! Je ne les comprends pas! En termes de résultats, qu'est-ce que ça a donné? Qu'est-ce que ça a donné là ?
Veux-tu commencer?
Bien, ça nous a donné de la visibilité. Ça veut dire
les gens nous voient. Puis ça, c'est de la notoriété parce que si veut que les gens pensent à nous, il faut être top of mind. Il faut qu'ils nous voient passer. Tout le temps. Puis on a des beaux exemples, des collègues de Montréal qui ne nous connaissaient pas a priori, qui nous ont appelés pour exécuter un mandat potentiel ici dans le coin. Bien, c'est parce qu'ils ont vu, puis ça, c'est ce qu'ils nous ont dit. On a vu vos... on voit vos faces passer.
Ils aimaient ce qu'ils avaient vu. Oui, évidemment. S'ils n'avaient pas adhéré... Oui, c'était un gros cabinet, c'était pas n'importe qui. C'était drôle. Mais même la semaine passée, j'étais en train de faire du bénévolat avec une ancienne cliente de la firme qui m'a dit «Ouais, là , Marmichelle était partout cette semaine!» Puis, je réfléchissais, je suis comme «Ouais, elle était où?» Mais finalement, c'est l'accumulation de tout ça parce que t'étais à Radio-Canada, t'as donné une conférence, on est sur les réseaux sociaux.
On est sur les réseaux sociaux entre autres parce qu'on a le balado pour faire parler de nous. C'est vraiment la base, c'est notre pilier de notre stratégie de contenu, réseaux sociaux. Il y a une forme de répétition là -dedans avec les gens. l'impression qu'on est partout alors qu'on est... On en fait beaucoup, mais pas plus que les
travaille fort comme tout le monde. Mais on le montre. On le partage. Puis ce que j'allais dire, c'est que c'est pas parce qu'on aime se montrer.
Non, ça rien à voir. Hate Pelagne. Parce que je le dis souvent, si ce n'était pas de mon travail ici, moi je pense que je fermerais tous mes comptes et je serais pas là . Mais je que ça a de la valeur pour l'entreprise de le faire. Moi, je n'ai pas de compte personnel à Instagram. Je n'en veux pas. Et mon compte Facebook, il a une existence parce que des gens m'ont taggué dans le passé. C'est ça, exactement. J'ai un compte personnel à Instagram, mais qui ne me sert plus, autre que…
des fois aller voir des contenus parce que je veux pas briser l'algorithme de la firme. Mais les petites recettes, ces choses-lĂ , c'est moins pertinent.
ça, on le fait parce qu'on sait que ça prend ça, il faut se faire voir. Il faut que les gens nous voient pour penser à nous. Même si on peut être les meilleurs du monde, si on se fait pas voir, les gens ne viendront pas voir. Puis ça m'amène au deuxième point, tu sais, que là on parle...
les résultats que ça a généré, mais c'est de se faire voir, puis de se faire voir avec des contenus pertinents qui nous donnent crédibilité, qui nous permettent de mettre de l'avant nos forces, nos compétences, parce qu'il a des gens que je vois partout, puis je parle au national, il a des gens, disons, à l'échelle du Québec, dans l'entrepreneuriat et ou autres, dans la T.I., dans l'intelligence artificielle, tu tu les vois partout, c'est comme des vedettes, mais tu sais pas trop.
qu'est-ce qu'ils font dans la vie. ne pas trop c'est quoi leur réelle compétence, ils sont la saveur du moment. tandis que nous, nos contenus, la façon dont on les apporte, ça nous apporte crédibilité. Les gens comprennent plus ce qu'on fait. Puis, non seulement on n'est plus crédible, mais je dirais qu'on est plus pris au sérieux après par des bailleurs de fond auprès de qui on va faire des demandes, soit de soutien, de subventions, de
Si on s'inscrit dans des incubateurs ou si on est plus rapidement pris au sérieux, je dirais auprès de partenaires stratégiques qui viennent vers nous pour collaborer un peu plus. Je reçois des CV. Je reçois tout le monde du bien-hier de main-d'oeuvre. Nous, il a des gens qui cognent ici pour être stagiaires, qui cognent ici pour travailler. J'ai jamais eu à ...
à faire paraître une offre d'emploi, les pigistes aussi avec qui on collabore, c'est des gens qui sont dans notre environnement rapproché. Donc, je suis persuadée qu'on est plus pris au sérieux par l'écosystème alors qu'on est une entreprise de deux micro-entreprises. Avant, on était plus comme, des petites filles qui jouent à l'entreprenariat! Mais là , c'est plus dur de dire ça. Puis même que j'irais plus loin en disant que c'est arrivé dans le passé qu'il des gens qui étaient dans l'égo, disons qu'il n'y avait pas nécessairement intérêt à ce que la firme réussisse.
qui pouvaient dire certaines choses dans notre dos quand on n'Ă©tait pas autour de la
qui faisaient que dans certaines institutions on était moins populaire. vais dire ça comme
lĂ avec le
il a quelqu'un qui tombe sur tel Ă©pisode, qui l'Ă©coute, qui nous trouve bonne. Alors c'est plus difficile de dire « non, les filles de la firme, disons, ne pas sĂ©rieuses » ou « manquent de rigueur ou Ils font juste telle affaire dans le marketing ». Ben, il y un temps, j'ai Ă©coutĂ© leur Ă©pisode, elles font abaisser, donc c'est beaucoup plus dur Ă
je dirais mĂŞme en
pas en compétition, mais c'est tellement
gros investissement que de faire ça
rapport à de la concurrence en guillemets, on sait qu'on est des collègues, nous c'est notre vision, mais on est beaucoup plus dur à copier.
Si demain on fait une affiche avec un beau slogan dessus, ça se copie
balado pendant 52
plus difficile. Ça prouve une constance. Une constance, un sérieux, une rigueur, certainement. Ça revient à la crédibilité. On ne pas juste
dire qu'on est constante, qu'on est rigoureuse, qu'on est à notre affaire. On le démontre à chaque semaine. Sinon, un quatrième apprentissage, c'est un outil de communication extraordinaire. C'est quoi un outil de communication? On parle souvent de ça. Si on prenait le temps de le définir. C'est une bonne question.
un outil pour communiquer. Un outil pour communiquer, je dirais en anglais on dit un stand de langue.
C'est un outil comme un dépliant. Tu peux tomber sur le dépliant, n'as pas besoin de te le faire présenter. Tu peux être en contact avec l'outil de communication, le consommer. Il a un message en lui-même. Il y a quelque chose. seul. Ça vit tout seul, un outil de communication. D'ailleurs, il y aura un épisode sous peu sur les appels à l'action. C'est un élément important à intégrer aux outils de communication. Donc, je vous le recommande.
qui est extraordinaire avec le balado, c'est qu'on a fait
est plus lĂ pour vendre, on est lĂ pour donner. Donc, on veut approcher quelqu'un sur LinkedIn ou
dit « Eh bien, voici, moi, on fait le balado, j'aime ta compagnie, voici des Ă©pisodes qui pourraient vous intĂ©resser, ça viendra en savoir plus, contactez-nous, peu importe, vous faites juste les Ă©couter, donnez-nous votre feedback. Donc, on donne notre expertise, on n'est pas Ă
de nos compétences. Au contraire, on les donne puis les gens qui ont envie de travailler avec nous, mais après, peuvent venir vers nous plus facilement parce qu'ils savent ce qu'on a à offrir. On se met au service de nos clientèles idéales, potentielles et actuelles. Concrètement, comment on les utilise, ces
justement, quand on veut approcher des gens, on les utilise. Je sais que tu l'envoies aussi Ă des clients qui nous disent non. Des clients, des clients potentiels qui ont dit non pour...
plein de raisons, peut-être qu'on reviendra plus tard. Après une offre de service, j'envoie l'offre, on me dit « finalement on n'ira pas avec vous autres les filles, ok parfait ». Voici trois épisodes de balado à écouter, donc on reste là dans les offres de service, donc pour venir bonifier. Donc par
a un client qui a besoin de travailler sur sa marque, bien voici un épisode où on parle de notre vision de la marque, ou moi je sais qu'à un moment donné j'ai fait un devis pour un client pour de la publicité numérique.
Je lui ai glissé l'épisode qu'on a fait avec notre collègue Audrey d'Aléma Global. Voici comment ça fonctionne parce que nous, travaille avec Aléma pour la publicité. Voici qui ces gens-là . Ça nous aide même à présenter des collègues, des
des gens qui n'ont juste pas les moyens en ce moment d'embaucher la firme, ce n'est pas parce qu'ils n'ont pas les moyens de nous embaucher qu'ils n'ont pas les moyens de réussir. Ça peut commencer par là . De façon, on le dit toujours, le marketing, ça s'affront sur YouTube.
Si c'est pas nous, c'est quelqu'un d'autre qui va le montrer. Donc aussi bien nous se positionner et démontrer notre expertise. Et évidemment, ça aide à fidéliser. Donc quand on veut prendre des nouvelles d'un client, on a créé cet
j'ai pensĂ© Ă
voici si tu as envie de l'Ă©couter,
Donc là , on a dévoilé tous nos secrets. Donc les gens savent quand on leur envoie des épisodes de balado. Mais on le fait parce qu'on veut. Moi, je dis souvent aux clients...
donnez-nous des nouvelles de ce qui se passe parce que c'est ça qui nous nourrit comme stratège marketing. n'est pas le chèque que vous nous envoyez. C'est devoir que vous avez réussi et que les actions qu'on vous a invitées à faire fonctionnent et vous ont permis d'atteindre vos ambitions. C'est ça notre vraie paie. Même si elle était très ambitieuse, des fois il en a qui étaient très ambitieuses. Ils voulaient prendre six mois de congés par année pour écrire un livre. autres, j'ai une cliente en
Mais quand elle me disait « suis rendue j'ai fait « après quatre, cinq ans, une à côté de l'autre, à tout y est, t'es rendue là dans ta grande ambition que tu ne croyais pas possible initialement ».
Cinquième-mètre, j'irai vers les ventes parce que c'est ce qui intéresse les entrepreneurs qui nous écoutent et ou les « de fond qui recommandent à leurs clients d'aller faire les contenus longs. Est-ce que c'est payant ?
C'est sûr que nous, c'est difficile de dire, on fait un balado, donc on fait plus d'argent. Puis, il nommer aussi que notre balado, on assure vraiment une belle distribution. Si on faisait juste un balado, je ne sais pas si ça donnerait les mêmes, mêmes résultats parce qu'on l'a dit, on l'utilise dans l'infoled, dans les réseaux sociaux, etc. On le pousse à fond. Mais pour l'instant, moi, je vois une belle grosse augmentation des rencontres exploratoires.
Et en octobre, on a fait un super mois d'octobre en termes de vente. Octobre, c'est-à -dire on est dix mois plus tard que le lancement. Donc on surveille ça de près à la firme, c'est certain. Nous, on aime bien mesurer les résultats clés. Mais tu cet été-là , je regardais des mois d'été passés, puis on avait juste zéro rencontre exploratoire. Dans juin, cette année, on en avait six rencontres exploratoires. Donc nous, c'est des petits chiffres parce qu'on vend des...
des mandats quand même chers en guillemets. Si on vendait des paires de bas à deux pièces, c'est sûr qu'il faudrait faire plusieurs rencontres pour en vendre beaucoup. Mais on n'a pas besoin, moi j'ai besoin de faire entre 5 et 10 rencontres exploratoires par mois. On n'est pas totalement dans l'objectif atteint, mais on voit que ça monte, on voit qu'on a des beaux appels. Puis moi je vois clairement la courbe des rencontres exploratoires plus élevées. Disons que ça prend trois à 12
de un processus de vente chez nous, mais j'ai hâte de voir nos prochains mois où vont. Surtout considérant que quand je parle à des collègues en marketing, tout monde me dit que c'est l'étacombe en marketing, il a des mises à pieds, les gens n'ont pas assez de travail. Donc je pense que ça nous a beaucoup aidé d'un point de vue des ventes à se positionner puis à tirer notre épingle du jeu dans une économie qui n'est pas favorable à notre industrie, je dirais. Donc c'est clair que quand je regarde mes résultats,
Je dis, on continue une autre année. En fait, le balado est venu prouver ce qu'on dit à nos
que ça prend six mois avant de voir les résultats d'une action marketing. Donc oui, c'est sûr qu'au bout de six mois, on n'est pas arrivé et on a atteint tous nos objectifs, mais on a commencé à voir des choses bouger. On a commencé à en entendre parler. là , pouf, pouf, pouf. Quand on dit que ça prend de la constance, il pas le faire pendant un mois et arrêter. Ça serait dommage.
C'est dur. Je pense que le prochain point, comme entrepreneur, tu peux le nommer, l'investissement
ça demande. C'est gros, c'est impressionnant ce que ça demande.
est-ce que ça en vaut la chandelle? Si ça en valait pas la chandelle, on recondurait
On l'a dit dans d'autres Ă©pisodes, j'avais dit Ă l'Ă©quipe, on fait 52 semaines, on ne se remet pas en question.
et on évalue après 52 semaines. Parce que je me disais, c'est impossible de voir. Même j'écoutais le balado de Neil Patel et Eric Sioux et ils disaient, quand ils vont dans un événement marketing, ils se sont rendus en Allemagne pour un événement qui s'appelle This is Marketing, ils donnaient une conférence et tout. Puis disaient, ça prend deux ans avant de voir les résultats d'une présence à un événement, puis de voir le retour sur investissement.
on voit plein de beaux résultats avec le balado et je sais d'emblée qu'on ne voit pas tout.
oui, ça vaut la peine, mais oui, c'est énormément d'argent de temps. L'argent va où? Elle va dans les outils. Le nombre de cossins que j'ai acheté pour tester des micros, c'est des milliers de dollars. Il y a des consoles qu'on n'a jamais même utilisées qui sont dans mon tiroir. Parce que je manquais de compétences, je n'avais pas d'argent pour payer un consultant ensemble. J'ai fait des essais, je me suis trompée. Le nombre de vidéos YouTube pour, tu vois, le petit capteur de nos deux micros.
Il a fallu que j'achète un autre fil. En tout cas, il y a trois fils. Il y a trois fils ou deux fils entre la machine jusqu'à l'ordinateur. J'arrivais pas. Le son rentrait pas. Je comprenais pas pourquoi.
c'est ça, c'est énormément de temps, d'argent. On engage une pigiste qu'on adore. Karine, on la salue. Elle est avec nous pour nous soutenir, pour être capable de sortir un épisode par semaine. Nous, notre salaire. C'est beaucoup d'heures par semaine qu'on passe là -dessus.
J'ai dit que un investissement.
Je le vois là , puis on est passé rapidement,
termes de blog, ça nous fait un épisode sur le site web par semaine qui est un billet. Donc c'est une page web, ça nous permet d'aller chercher, tu sais, en anglais on appelle ça de long tail, donc des, comment on dit ça en français? Des recherches long train. Long train. Donc ça veut dire qu'au lieu de faire un billet de blog sur le marketing de contenu, on pourrait dire...
créer un contenu long par semaine. Donc c'est beaucoup de mots, c'est plus spécifique. On peut faire 35 pages qui adressent des contenus liés au marketing de contenu, puis aller vraiment dans la précision.
SEO, on a tiré noté plein du jeu. Puis tu t'es allé à ton événement,
gens te reconnaissent. oui, ça c'est drôle parce
Tu te dis parfois tu me présentes à des gens que moi je jamais rencontrés. Oui, je te vois sur les réseaux sociaux. Tu te sens un peu influenceur, ce n'est pas du tout un objectif. Mais tu comprends, les gens te voient, ensuite ils voient sur la rue. Toi tu ne les connais pas, mais eux ils savent tes qui.
pour ton expertise, ils ne savent pas tes qui parce que tu as fraudé le fisc ou ils savent pas tes qui parce que tu as fait un accident terrible. Ils savent tes qui.
pour des compétences professionnelles. Puis je dois dire aussi qu'on est passé rapidement là -dessus, mais je pense qu'on a eu plusieurs invitations à donner des conférences et à animer des soirées, à prendre parole devant le public à cause qu'on a démontré qu'on était capable de le faire aussi. Puis ça, fait quoi? Moi aussi dans mes thèses de personnalité, ce qui sort, c'est que je suis une ermite, ok? Si j'étais vraiment indépendante de fortune, probablement que je serais ermite dans fond du bois. Ça surprend les gens, mais...
C'est qui je suis. Pour arriver, je prends de la place. Pour arriver en affaires, je prends de la place. Il mettre de l'avant notre expertise. Mais c'est sûr que quand on est devant un public, ça crédibilise notre expertise aussi. C'est comme, wow, on fait confiance aux filles de la firme. Donc, tout ça, c'est dur de dire A donne B, d'avoir une corrélation précise entre ce qu'on fait et ce que ça donne. Mais l'ensemble de nos indicateurs sont ouverts en ce moment, malgré le contexte économique difficile. Donc oui, c'est...
Je dirais que c'est un investissement et on va continuer. C'est drĂ´le, je suis un peu tĂŞte dure. Veux-tu qu'on parle des micro... des minizodes? Ben oui, parce que moi je suis vraiment tĂŞte dure. Pourquoi je tĂŞte
le dis ou tu le dis? ben je peux le
parce que, ben tu sais, veux dire, comme n'importe quelle entreprise, dans la dernière année, on a vécu des hauts et des bas. Puis, bien que Marie-Michelle nous a
début... fin 2023, on fait 52 épisodes sans jamais se remettre en question. Je n'ai pas écouté la
J'ai quelquefois dit « Marie-Michelle... Tu m'aurais mis en question! T'es sĂ»re lĂ , un Ă©pisode par semaine, demande beaucoup de temps, pis je pense pas que l'impact par rapport aux gens qui nous Ă©coutent, je pense pas que les gens seraient plus, pas plus, mais ils seraient infidèles. Je dis, a plein de podcasts que j'Ă©coute, que six fois, mĂŞme si c'est un Ă©pisode par mois, pis tout ça, donc j'ai Ă©tĂ© la tannante qui remet en question. Mais je pense que lĂ , ça a peut-ĂŞtre amenĂ© Marie-Michelle Ă
et trouver une formule
nous permettre d'être plus agiles, de pouvoir sortir, de continuer de sortir un épisode par semaine, sans, comme j'ai tout à l'heure, sans diminuer la qualité des contenus qu'on veut livrer. Non, puis il a un enjeu, nous, en termes de temps, d'argent et d'énergie. C'est très dur à maintenir. Puis du côté de l'écoute, on le sait qu'il des épisodes de 60 minutes par semaine. C'est dur à écouter. C'est ça qu'on a eu comme commentaire aussi.
On l'a entendu, on l'a écouté et on s'ajuste. Donc, c'est pour ça qu'à l'avenir, on va essayer de toujours avoir un minizode aux deux semaines, un contenu plus long aux deux semaines. Dans les minizodes, on va être beaucoup plus tactique. Dans les épisodes plus longs, comme aujourd'hui, on va se permettre d'avoir une discussion, d'aller plus loin, de parler de mindset, parler de démarches décisionnelles, tandis que dans les minizodes, on va être très concret, pratico-pratique.
Donc les minizodes qui seront animés par toi, voir peut-être que dans le futur, je les intégrerai à l'occasion, mais a priori, pour que ça reste court, c'est vraiment toi seule qui va les
Oui, parce que c'est plus facile, on va se le dire. Ça aussi, on est passé rapidement, mais quand on fait un épisode entrevue, par exemple, avec un expert, c'est beaucoup plus demandant qu'un minizode que moi j'enregistre à 6h30 du matin, puis que je fais le montage après pendant 30-40 minutes, c'est réglé, c'est terminé. Donc il a aussi ça qu'on veut.
continuer de faire des Ă©pisodes
qualité
des experts toujours au niveau. Et même on a l'ambition d'aller chercher des gens plus durs à approcher. Pour l'instant, on était dans notre réseau rapproché, tranquillement, pas vite. On veut élargir la zone vers des gens qui sont moins facilement accessibles. Mais il va falloir continuer de mettre toujours plus de temps dans la qualité des questions.
envoie ces gens-là dans l'angle d'entrevue, d'en prendre le temps de faire l'entrevue, puis en parallèle, avoir les minizodes pour demeurer agiles. Aussi,
nos minizodes sont pratiques parce que même pour des clients actuels, une stratégie qu'on va envoyer à quelqu'un, éventuellement, on va pouvoir mettre trois minizodes pour dire comment faire les choses.
on recommande telle ou telle chose. Exact. Donc, c'est lĂ oĂą on en est. Est-ce qu'il a des choses, toi, que tu te souhaites pour la
j'aimerais ça.
d'ici l'année prochaine, ça pourrait être pour célébrer les deux ans, mais qu'on puisse enregistrer, là je vais dire dans un vrai studio, mais ça pourrait être à la firme, mais je vois les beaux balados où il a plusieurs caméras, que c'est rythmé, ils ont des professionnels qui font du montage, j'espère à ce qu'on ait ça pour
notre contenu qui est à forte valeur ajoutée soit dans un contenant tout aussi équivalent. Professionnel. Oui, professionnel.
Je pense qu'on n'a pas à rougir de ce qu'on fait, mais j'aimerais ça qu'on
français, up-level la game.
dans un plus beau
Oui, c'est sûr que c'est attaché avec la broche pour l'instant, mais comme tu dis, on s'en tire pas si mal pour des filles qui n'avaient pas ces compotences-là , mais évidemment qu'on aimerait toujours s'améliorer.
Il a peut-être des collègues, il y a quand même des petits balados aussi, des petits d'autres balados qui émergent dans l'est du Québec, qui font aussi des beaux contenus. Donc peut-être qu'éventuellement, il aura un besoin qui va se faire sentir davantage. qu'il un studio qui va ouvrir. Parce je sais que c'est un modèle d'affaires chez certains qui possèdent les studios, puis ils vont tous enregistrer au même endroit. Mais ils font juste changer trois, quatre éléments du décor. Puis d'après ça, le tour est joué. C'est drôle parce que moi, j'ai eu beaucoup de feedback dans la forme de nos trucs.
qui disaient « mon Dieu vos bureaux sont tellement beaux! » Je me disais, pour l'instant c'est quand même pas fou qu'on monte nos bureaux parce que ça fait partie de notre univers de... En tout cas, c'est drôle. On aimerait être plus pro, mais en même temps, fait d'avoir attaché ça avec de la broche dans notre bureau, ça fait qu'on fait vivre la firme. Mais il y peut-être une façon de faire ça dans nos bureaux. Il y a des gens qui sont à l'écoute, sont pros du son et de l'image, qui pourraient nous aider
monter quelque chose encore un peu avec de la broche, mais qui...
En tout cas, il y a peut-ĂŞtre des solutions, mais il y a toujours des
moi, qu'est-ce que je nous souhaite cette année? Moi, j'aimerais inviter des gens qui sont vraiment hors de notre ligue en entrevue. Puis je pense qu'on a commencé à inviter des gens qu'on connaissait moins, des experts, des chercheurs, tranquillement, vite. On va hors de notre réseau rapproché, de proximité. Au début, c'est sûr qu'on invitait des gens qui nous aiment, qui ont déjà confiance en nous, mais tranquillement, vite. Je sais pas si je nomme des noms.
Mais moi je rêverais d'interviewer deux personnes l'année prochaine. Vas-y. Je peux le dire? Ben là , si tu le dis, on se connait. Je le dis, puis peut-être que quelqu'un va entendre et connait quelqu'un, mais moi j'ai une grande idole de jeunesse qui s'appelle Sonia Bénesra. Que j'adore. Et que j'adore la façon... Moi c'était une idole parce qu'elle faisait des entrevues de façon extraordinaire, en plusieurs langues. J'ai toujours admiré, j'aimerais faire avec elle.
une entrevue qui porte justement sur comment on fait pour faire des bonnes entrevues, qu'on n'est pas quelqu'un qui est formé là -dedans. Parce que là , ce qu'on enseigne aux entreprises, aux organismes, en quelque sorte, c'est de devenir le média eux-mêmes. Alors, j'aimerais une entrevue avec elle qui porte là -dessus.
personne avec qui j'aimerais jaser, c'est France Baudoin.
que c'est une femme Ă la tĂŞte d'une entreprise.
Oui, on la voit à la télé, on la voit faire des entrevues, mais moi ce qui m'intéresse, c'est la business. Parce qu'elle aurait pu demeurer animatrice, être devant la caméra, mais elle a monté son entreprise de production et on l'entend rarement parler de la business, d'embaucher, de développer, de prendre de la place, de signer des contrats, de comment elle s'est prise de ses embûches. Alors j'aimerais parler à l'entrepreneur, pas à la femme devant la caméra, parce que quand elle s'exprime, je trouve qu'elle a une forme.
Elle a une belle drive, mais dans un gant de velours. Puis moi, j'ai moins le gant de vélo. Mais j'aimerais entendre qu'elle enlève son gant puis qu'on jasse des vraies affaires ensemble parce que c'est quelqu'un que j'admire et que je ne connais pas du tout. J'aimerais entendre comment elle drive sa business. Alors c'est le genre de personne que j'aimerais inviter. Je lance ça dans l'univers. Mais tu vois, moi, j'aurais rajouté une, puis là , va avoir l'impression.
Toi, c'est ton côté de fille de production télé qui ressort. Puis là , je suis un peu dans la même veine, mais c'est parce que je l'ai entendu dans un podcast un peu plus d'affaires avec Pierre-Yves McSween. McSween, pardon. Je sais où tu t'en vas. C'est Marie-Claude Barrette. Son podcast est extraordinaire. Excellente, pardon. Je l'aime vraiment beaucoup aussi. justement, j'avais l'impression
correspondait un petit peu à notre clientèle sim dans le genre, dans le style où...
elle racontait, bon, quand le réseau TVA a décidé de mettre fin à son contrat avec elle et tout, elle se revirait de bord, puis elle non plus, n'avait jamais fait ça. Elle décidé de créer un podcast, elle connaît rien, c'est une petite équipe, let's go, on y va, on essaie des affaires. J'entendais vraiment un peu, tu l'entrepreneur sans département marketing, là , elle s'est lancée sans filet. J'aimais vraiment beaucoup l'entendre parler sur l'aspect entrepreneurial, tu puis les risques qu'elle a pris, là . Elle a investi beaucoup. investi, puis c'était un format qui était...
peu connue au Québec ou du moins peu connue de grand public. Il y avait beaucoup de gens qui étaient dans les balados, les Patreon, tout ça,
de façon un peu plus nichée. Mais là , elle a vraiment allé chercher une... Puis même sa chaîne qu'elle a créée, le Marie-Clob, tout ça, j'ai pas adhéré, mais... Mais c'est une formule payante en formule payante, exactement. Il a un modèle d'affaires. Moi, c'est une personne que j'aimerais qu'on reçoive parce que je trouvais que...
Je trouvais qu'il y avait quelque chose d'inspirant pour les entrepreneurs à qui on s'adresse parce que je trouvais qu'elle avait vécu. C'est sûr que tout paraît plus gros quand elle est à la télé, on la voit partout, mais je pense qu'elle a passé à travers et elle passe encore à travers
étapes qu'un entrepreneur qui démarre en région peut vivre aussi. Oui, puis peut-être que ça va peser dans la balance le fait qu'on a notre siège social à Rimouski. Elle a resté dans le bas du fleuve.
Que vous nous aimez
objectifs pour la prochaine année. Oui, puis Marie-Claude Barrette aussi, elle est allée chercher des partenaires stratégiques. Oui, elle s'est entourée. Oui, oui, oui. Non, non, c'est trois noms de femmes extraordinaires. Alors, si vous écoutez ceci, que vous pouvez envoyer à Sonia Pénisera, à France-Baudouin, ou Marie-Claude Barrette, et nous donner un coup de pouce. Mais c'est clair que, ça pourrait être le défi qu'on se lance. Oui, 2025. 2025, on se lance ce défi.
J'ai hâte de faire le bilan des 104 épisodes. On verra les deux Oui, on a rendez-vous dans un an pour faire le bilan. Puis si on peut vous inviter avant de se quitter à essayer quelque chose, cette semaine on voulait aller ailleurs parce qu'on vous a souvent recommandé d'oser faire un contenu court ou long quelque part par semaine, ne serait-ce que publier sur les réseaux sociaux, commenter sur les publications de certaines personnes pour commencer à vous faire voir en termes de marketing de contenu. Mais qu'est-ce qu'on pourrait faire cette semaine de différents invités les gens?
Ă essayer pour prendre de la place? En
le balado ce n'est pas nécessairement un médium qui peut convenir à tout le monde, un format. Il y a plein de
mais ce qu'on pourrait vous recommander c'est de prendre le temps de vous poser la question « Qu'est-ce que j'ai à communiquer? » Quelle expertise je pourrais
mettre de auprès de mes clientèles idéales? Après ça, on pourra trouver le format.
Qu'est-ce que j'ai à offrir finalement? Si je me mets au service de ma clientèle potentielle, idéale et actuelle, qu'est-ce que j'ai à ... Parce que c'est vraiment de se mettre au service, puis après ça devient payant, mais d'abord il se mettre au service sans
simplement. Puis je dirais, vous pouvez vous amuser à trouver des piliers contenus, parce que nous, quand on se met au service, c'est sûr que c'est de la firme marketing, sait dans quelle industrie on évolue, mais après on s'est donné certains piliers comme le parcours client, comme développer une entreprise en région, comme l'entreprise qui n'a pas de département marketing. Donc, on vous invite à clarifier, oui, votre expertise, puis certains piliers de contenu qui pourraient faire que vous preniez votre place à vous en ligne. Alors, en conclusion,
As-tu apprécié ma compagnie pendant 52 semaines? Oui, tout à fait, parce que même les épisodes où je ne pas là , je les écoute. Où elle t'es pris avec... Donc oui, j'adore ta compagnie. En fait, je souhaite l'ombre vie au balado et je lui souhaite de se réinventer. Peut-être que dans un an, on va dire qu'on le fait sous un autre format, on fait autre chose. Mais je nous souhaite d'évoluer avec lui et qu'il évolue avec la firme. Il grandit avec nous. Et comme à l'habitude, on vous invite à vous abonner. C'est ça qui fait la différence.
Donc le plus que vous vous abonnez, que vous partagez certains épisodes avec vos collègues, avec vos amis entrepreneurs ou gestionnaires d'OBNL, allez-y, c'est ça qui nous aide
assurer le plein rayonnement du balado. Et à pouvoir inviter nos invités drive. Oui! Sur ce, on se dit à la semaine prochaine. À bientôt!